Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - « Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, qui a fréquemment servi de voix modérée dans la région [Nota CVAN : sic !],
a décrit Israël en terme « d’État terroriste » et a condamné les raids
aériens sur la bande de Gaza qui est gouvernée par le groupe islamiste
du Hamas. Les efforts diplomatiques sont compliqués par les relations
entre Israël et la Turquie. Les liens entre ces deux pays se sont
détériorés en 2010, après que la flotte israélienne a mené un raid sur
un navire chargé d’aide humanitaire qui tentait de forcer le blocus de
la bande Gaza. Neuf Turcs avaient été tués dans les affrontements avec
des activistes qui se trouvaient à bord. » Sans analyser le conflit en
cours entre le Hamas et Israël, il est toujours intéressant de noter que
la „voix modérée“ d’Erdogan sait reconnaître un „Etat terroriste“, un
„nettoyage ethnique“, et un blocus, sauf lorsque c‘est la Turquie qui
est mise en cause… Le Collectif VAN vous propose la traduction d’un
article en anglais paru sur le site du journal The Washington Post le 20
novembre 2012.
Légende photo: Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan
The Washington Post
Le conflit Israël-Hamas crée une dissension dans les relations
américaines avec la Turquie et l’Egypte, deux partenaires clés au
Proche-Orient
Par
Anne Gearan, 20 novembre 2012,
Le conflit Israël-Hamas met l’Administration Obama en porte à faux
avec deux de ses partenaires les plus importants au Moyen-Orient,
menaçant de nuire aux objectifs américains dans la région à un moment de
bouleversement politique.
Lundi, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, qui a fréquemment servi de voix modérée dans la région
[Nota CVAN : sic !],
a décrit Israël en terme « d’État terroriste » et a condamné les raids
aériens sur la bande de Gaza qui est gouvernée par le groupe islamiste
du Hamas. Le président égyptien Mohamed Morsi a mis en garde Israël
contre une offensive terrestre et a accordé son soutien au leadership du
Hamas, en envoyant son Premier ministre à Gaza.
Les protestations croissantes ont exposé les États-Unis à des
critiques, leur reprochant de ne pas avoir exercé suffisamment de
pressions sur Israël pour que le pays accepte un cessez-le-feu. Le
conflit a également créé des problèmes dans les relations avec les
responsables égyptiens et turcs et a souligné les limites de l’influence
des États-Unis après les révolutions qui ont balayé la région l’an
dernier.
Lire la
suite sur le site du Collectif VAN (Vigilance Arménienne contre le
Négationnisme)
Les USA et ses alliés face au conflit Israël-Hamas