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jeudi, novembre 29, 2012

Les USA et ses alliés face au conflit Israël-Hamas

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - « Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, qui a fréquemment servi de voix modérée dans la région [Nota CVAN : sic !], a décrit Israël en terme « d’État terroriste » et a condamné les raids aériens sur la bande de Gaza qui est gouvernée par le groupe islamiste du Hamas. Les efforts diplomatiques sont compliqués par les relations entre Israël et la Turquie. Les liens entre ces deux pays se sont détériorés en 2010, après que la flotte israélienne a mené un raid sur un navire chargé d’aide humanitaire qui tentait de forcer le blocus de la bande Gaza. Neuf Turcs avaient été tués dans les affrontements avec des activistes qui se trouvaient à bord. » Sans analyser le conflit en cours entre le Hamas et Israël, il est toujours intéressant de noter que la „voix modérée“ d’Erdogan sait reconnaître un „Etat terroriste“, un „nettoyage ethnique“, et un blocus, sauf lorsque c‘est la Turquie qui est mise en cause… Le Collectif VAN vous propose la traduction d’un article en anglais paru sur le site du journal The Washington Post le 20 novembre 2012.

Légende photo: Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan

The Washington Post

Le conflit Israël-Hamas crée une dissension dans les relations américaines avec la Turquie et l’Egypte, deux partenaires clés au Proche-Orient

Par Anne Gearan, 20 novembre 2012,

Le conflit Israël-Hamas met l’Administration Obama en porte à faux avec deux de ses partenaires les plus importants au Moyen-Orient, menaçant de nuire aux objectifs américains dans la région à un moment de bouleversement politique.
Lundi, le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, qui a fréquemment servi de voix modérée dans la région [Nota CVAN : sic !], a décrit Israël en terme « d’État terroriste » et a condamné les raids aériens sur la bande de Gaza qui est gouvernée par le groupe islamiste du Hamas. Le président égyptien Mohamed Morsi a mis en garde Israël contre une offensive terrestre et a accordé son soutien au leadership du Hamas, en envoyant son Premier ministre à Gaza.

Les protestations croissantes ont exposé les États-Unis à des critiques, leur reprochant de ne pas avoir exercé suffisamment de pressions sur Israël pour que le pays accepte un cessez-le-feu. Le conflit a également créé des problèmes dans les relations avec les responsables égyptiens et turcs et a souligné les limites de l’influence des États-Unis après les révolutions qui ont balayé la région l’an dernier.


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Les USA et ses alliés face au conflit Israël-Hamas