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vendredi, novembre 30, 2012

La Turquie et les droits des minorités

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Il semble nécessaire pour un accusé de se défendre avec les meilleures armes possibles. La première de celles-ci reste l’expression. Or, en Turquie, où vivent de nombreuses communautés issues de diverses ethnies, le droit à la défense et le droit à l’éducation dans la langue maternelle ne sont pas reconnus officiellement : seuls quelques cours optionnels sont proposés. Si ces droits semblent primordiaux, l’article invite toutefois le lecteur à cerner les limites de leur champ d’application : outre la nécessité de prendre certaines mesures pour pallier la difficulté technique de traduction des termes juridiques qui n’existent pas dans certains dialectes, le débat actuel est centré sur les Kurdes, de telle sorte qu’il pourrait sembler que ces droits leur sont exclusivement destinés. Le Collectif VAN vous invite à lire la traduction d’un article en anglais de Vercihan Ziflioğlu, paru le 19 novembre 2012 sur Hürriyet Daily News.

Les minorités soutiennent le droit à la défense dans la langue maternelle


ISTANBUL - Hürriyet Daily News

19 Novembre 2012

Vercihan Ziflioğlu

Le débat concernant la défense juridique en langue kurde, qui est actuellement l’un des sujets les plus controversés en Turquie, s’étend à la défense dans la langue maternelle pour d’autres communautés ethniques.

S’adressant à Hürriyet Daily News, Vacid Kadıoğlu, le président de la Fédération des Associations Caucasiennes, a dit : « Le droit à la défense et à l’éducation dans la langue maternelle est le droit de chacun. Manipuler ce droit à des fins politiques est une mauvaise action. »

« Ils nous ont fait oublier notre propre langue maternelle, la langue circassienne. Nous ne pouvons donc pas inscrire la défense dans la langue maternelle à l’ordre du jour » a dit Kadıoğlu.

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