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mercredi, novembre 07, 2012

Erdogan à Berlin : des relations turco-allemandes grinçantes

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - « Les relations turco-allemandes grincent et pas uniquement en ce qui concerne l’Europe. Que ce soit le conflit syrien, la façon de gérer le parti interdit des travailleurs du Kurdistan, le PKK, ou l’intégration des trois millions de personnes d’origine turque en Allemagne – il y a de nombreuses différences d’opinions sur ces sujets, que les lieux communs diplomatiques ont du mal à cacher. Angela Merkel supporte mal les machos du genre Erdogan. Ce dernier n’a pas vu les 2500 personnes qui manifestaient contre sa politique à 500 mètres de la Chancellerie, devant la Porte de Brandebourg. Une grande coalition de groupes de gauche, de Kurdes et autres minorités de Turquie (dont les Arméniens) a accusé le Premier ministre de pousser le pays vers l’islamisation et de piétiner les droits de l’homme » Le Collectif VAN vous propose la traduction d’un article en allemand paru sur le site Spiegel Online le 31 octobre 2012.

Spiegel Online

Erdogan et Merkel : sourire distant

De Philipp Wittrock

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a dit mercredi qu’il voulait que la Turquie soit membre à part entière de l’UE avant 2023. La Chancelière Angela Merkel l’a assuré que les pourparlers seraient « honnêtes ». Leur rencontre à Berlin a de nouveau montré que les relations entre la Turquie et l'Allemagne se sont compliquées.

31.10.2012

Berlin – À la fin de la conférence de presse, Angela Merkel a froncé les yeux et serré les lèvres. Mais de quoi parle-t-il, semble-t-elle demander. À côté d’elle, Recep Tayyip Erdogan parlait du conflit de Chypre. C’était une erreur d’avoir intégré « Chypre du Sud » à l’Union Européenne, a déclaré le Premier ministre turc. Et la chancelière partage cette opinion, ajoute-t-il.

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Erdogan à Berlin : des relations turco-allemandes grinçantes