LE COLLECTIF VAN [VIGILANCE ARMÉNIENNE CONTRE LE NÉGATIONNISME] LUTTE CONTRE LA NÉGATION DE TOUS LES GÉNOCIDES ET PARTICULIÈREMENT CELUI VISANT LE GÉNOCIDE ARMÉNIEN DE 1915 PERPÉTRÉ PAR LE GOUVERNEMENT JEUNE-TURC DANS L'EMPIRE OTTOMAN. PLUS D'INFOS SUR FACEBOOK.COM/COLLECTIF.VAN ET LE FIL TWITTER @COLLECTIF_VAN - BP 20083 - 92133 ISSY-LES-MOULINEAUX.

vendredi, octobre 12, 2012

Syrie : le conflit inquiète le dernier village arménien de Turquie

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - « Je suis dans le village de Vakifli, le dernier village arménien de la province de Hatay, district de Samandag en Turquie, près de la frontière syrienne. Les villageois s’inquiètent des privations auxquelles sont confrontés les Arméniens en Syrie et du début de leur émigration en Arménie. Ils hésitent à parler de la question syrienne. En général, ils sont d’avis que ce sont les puissances impérialistes qui ont attisé les crises en Syrie. Ils pensent aussi que la chute [du Président syrien Bashar] Al-Assad est inévitable, et que toutefois la paix ne reviendra pas en Syrie après sa chute. » Le Collectif VAN vous livre la traduction d’un article en anglais, paru sur le site Al Monitor le 2 octobre 2012.

Légende photo : Le village endormi de Vakifli est le dernier village peuplé d’Arméniens, qui a survécu en Turquie, perché au milieu d’orangeraies, surplombant la côte est de la Méditerranée. (Photo Nurettin Gülay)

Al Monitor

L’impact du conflit syrien sur le dernier village arménien de Turquie

De : Hasan Kanbolat posté le mardi 2 octobre 2012

Je suis dans le village de Vakifli, le dernier village arménien de la province de Hatay, district de Samandag en Turquie, près de la frontière syrienne.

Vakifli est situé sur les pentes du Mont Musa. Avec le temps, le village est devenu un district de Samandag. Nous montons pour atteindre le village de Vakifli, situé à quelques kilomètres du centre ville [de Samandag]. Nous sommes entourés de roseaux, d’oliviers, de mûriers et de grenadiers, alors que nous montons le Musa.

Le café Gabris, à l’ombre de pins gigantesques, sert des sirops d’orange, de citron, de mandarine et de mûre. La brise fraîche venant de la Méditerranée ajoute un certain plaisir à notre discussion.

Bogos Silahli, professeur de philosophie d’Istanbul à la retraite, est occupé avec les préparatifs du Festival des Journées de la Philosophie, qui fêtera son quatrième anniversaire en 2013. Il a déjà choisi le sujet : « L’éthique de la nourriture et des droits de l'homme. »

 
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