LE COLLECTIF VAN [VIGILANCE ARMÉNIENNE CONTRE LE NÉGATIONNISME] LUTTE CONTRE LA NÉGATION DE TOUS LES GÉNOCIDES ET PARTICULIÈREMENT CELUI VISANT LE GÉNOCIDE ARMÉNIEN DE 1915 PERPÉTRÉ PAR LE GOUVERNEMENT JEUNE-TURC DANS L'EMPIRE OTTOMAN. PLUS D'INFOS SUR FACEBOOK.COM/COLLECTIF.VAN ET LE FIL TWITTER @COLLECTIF_VAN - BP 20083 - 92133 ISSY-LES-MOULINEAUX.

vendredi, janvier 20, 2012

Zarakolu : les limites de la liberté d’expression


Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - « Dans un long article qu’il a écrit de prison pour le journal turc Radikal, Ragıp Zarakolu a abordé le sujet de l’hystérie turque entourant la proposition de loi du Parlement francais de sanctionner la négation du génocide (la proposition de loi a été adopté par l’Assemblée Nationale ; elle doit encore être entérinée par le Sénat afin de devenir une loi . » Rappelons que l’éditeur turc, journaliste, et militant des droits de l’homme a été arrêté à Istanbul en octobre 2011 au motif ‘d’appartenance à un groupe terroriste’. En guise de matériel « terroriste », les forces de l’ordre n’ont saisi chez lui que des manuscrits sur le génocide arménien. Il est toujours en détention dans une prison de haute sécurité. Le Collectif VAN vous livre la traduction de cet article en anglais paru sur le site gitamerica, le 10 janvier 2012, qui présente des extraits de l’article original en turc de Zarakolu.


GIT-North America

Groupe International de Travail pour la liberté de recherche et d’enseignement en Turquie »

Mardi 10 janvier 2012

Ragıp Zarakolu écrit de prison : sur les limites de la liberté d’expression

Dans un long article qu’il a écrit de prison pour le journal turc Radikal, Ragıp Zarakolu a abordé le sujet de l’hystérie turque entourant la proposition de loi du Parlement francais de sanctionner la négation du génocide (la proposition de loi a été adopté par l’Assemblée Nationale ; elle doit encore être entérinée par le Sénat afin de devenir une loi ; en lire plus BBC).

Zarakolu commence par rappeler aux lecteurs l’expérience de la Deuxième guerre mondiale vécue en Europe, qui incluait non seulement l’holocauste, mais également la mort de 50 millions de personnes. C’est pourquoi le racisme et la xénophobie sont considérés comme une menace à la démocratie en Europe ; c’est également la raison pour laquelle il y a des cours sur le génocide dans les écoles.

Lire la suite sur le site du Collectif VAN (Vigilance Arménienne contre le Négationnisme)

Zarakolu : les limites de la liberté d’expression