LE COLLECTIF VAN [VIGILANCE ARMÉNIENNE CONTRE LE NÉGATIONNISME] LUTTE CONTRE LA NÉGATION DE TOUS LES GÉNOCIDES ET PARTICULIÈREMENT CELUI VISANT LE GÉNOCIDE ARMÉNIEN DE 1915 PERPÉTRÉ PAR LE GOUVERNEMENT JEUNE-TURC DANS L'EMPIRE OTTOMAN. PLUS D'INFOS SUR FACEBOOK.COM/COLLECTIF.VAN ET LE FIL TWITTER @COLLECTIF_VAN - BP 20083 - 92133 ISSY-LES-MOULINEAUX.

jeudi, mai 19, 2011

L’importance de la Turquie se fane avec le Printemps arabe


Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - « L’agitation et troubles régionaux menacent les alliés d’Ankara tels que Khadhafi et Assad, tout en créant de nouveaux rivaux comme l’Egypte. Les nouvelles réalités du Moyen-Orient ont pris Ankara par surprise. Si la Turquie s'est rapidement identifiée à l'opposition égyptienne, appelant le Président Hosni Moubarak à se retirer, la politique turque a le plus souvent été caractérisée par des volte-face, car elle essaie d'équilibrer ses affinités envers la démocratie et la stabilité et de s'attacher à la partie qui sortira probablement victorieuse de ce chaos. À un niveau abstrait, la Turquie fournit quelques enseignements et quelques exemples à la région. Mais sur la question de la réforme politique et économique et de la construction de la nation, le pays clé reste l'Egypte ». Le Collectif VAN vous propose la traduction d’un article de David Rosenberg paru dans The Jerusalem Post le 8 mai 2011.


Photo : Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan.

L’importance de la Turquie au Moyen-Orient se fane avec le Printemps arabe

De DAVID ROSENBERG / THE MEDIA LINE
8 mai 2011 - 12:31

The Jerusalem Post

L’agitation et les troubles régionaux menacent les alliés d’Ankara tels que Kadhafi et Assad, tout en créant de nouveaux rivaux comme l’Egypte.

Les factions palestiniennes rivales, le Hamas et le Fatah, ont signé leur pacte d’unité nationale si longtemps attendu, mercredi dernier. Or la cérémonie ne s’est pas tenue à Istanbul comme l’espérait le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, mais au Caire.

Moins d’une semaine auparavant, Davutoglu avait dû annuler le meeting prévu des leaders palestiniens après avoir appris qu’il avait été organisé par l’Egypte qui avait préparé un pacte d’unité national derrière son dos. Davutoğlu a assisté à la cérémonie en tant qu’invité et non de sponsor.

Le revers essuyé par la Turquie sur le front palestinien, sur lequel elle a travaillé assidûment pour mettre fin à quatre ans de dissensions entre le Hamas et le Fatah, est le dernier signe indiquant que le grand rôle décisif directeur que voulait tenir la Turquie au Moyen-Orient prend fin, face aux changements provoqués par le Printemps arabe.


Lire la suite sur le site du Collectif VAN (Vigilance Arménienne contre le Négationnisme)

L’importance de la Turquie se fane avec le Printemps arabe