LE COLLECTIF VAN [VIGILANCE ARMÉNIENNE CONTRE LE NÉGATIONNISME] LUTTE CONTRE LA NÉGATION DE TOUS LES GÉNOCIDES ET PARTICULIÈREMENT CELUI VISANT LE GÉNOCIDE ARMÉNIEN DE 1915 PERPÉTRÉ PAR LE GOUVERNEMENT JEUNE-TURC DANS L'EMPIRE OTTOMAN. PLUS D'INFOS SUR FACEBOOK.COM/COLLECTIF.VAN ET LE FIL TWITTER @COLLECTIF_VAN - BP 20083 - 92133 ISSY-LES-MOULINEAUX.

jeudi, mai 31, 2012

Numérisation des témoignages arméniens

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - « L'Institut USC du Conseil de direction des études arméniennes honorera l'Institut de la Fondation de la Shoah, créé par le cinéaste légendaire Steven Spielberg, qui a soutenu le Projet de numérisation du génocide arménien, lors d’un gala qui aura lieu dimanche 15 avril à l’hôtel Hilton Beverley. L’objectif de l'Institut USC du Conseil de direction des études arméniennes est de réunir des copies numériques de toutes les collections d’interviews des survivants et des témoins oculaires du génocide arménien, pour créer ce qui pourrait devenir les plus grandes archives des interviews des témoins du génocide arménien. » Le Collectif VAN vous propose la traduction de cet article en anglais paru sur le site d’armradio.am le 14 avril 2012.

Armradio.am

Ce qui est arrivé au peuple arménien était un génocide et il est nécessaire de le reconnaître, affirme le directeur de l’Institut de la Fondation de la Shoah

14.04.2 012 15:13

L'Institut USC du Conseil de direction des études arméniennes honorera l'Institut de la Fondation de la Shoah, créé par le cinéaste légendaire Steven Spielberg, qui a soutenu le Projet de numérisation du génocide arménien, lors d’un gala qui aura lieu dimanche 15 avril à l’hôtel Hilton Beverley.

La Fondation de la Shoah, créée par Steven Spielberg en 1994, fait partie de l’Université des Lettres, des Arts et des Sciences USC Dana et David Dornsife depuis 2006. Ses Archives historiques visuelles contiennent presque 52°000 vidéos de témoignages de survivants et d'autres témoins du génocide ; des archives de ce genre sont parmi les plus grandes du monde.

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Numérisation des témoignages arméniens

Arménie : black-out sur les génocides de l’Empire ottoman ?


Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - « Le 19 mars 2012, le Parlement arménien a rejeté la proposition du parti d’opposition « Héritage » d'examiner un projet de loi condamnant les génocides des Grecs du Pont, des Assyriens et d'autres minorités ethniques de l'Empire ottoman. Le vote a échoué à cause de l’absence de quorum. » Absence de quorum ou pas, est-il acceptable de faire subir à d’autres ce que l’on dénonce pour soi-même ? (cf les multiples atermoiements des parlements israélien ou américain concernant la reconnaissance et condamnation du génocide arménien). Au-delà de cet aspect moral, révéler que l’Empire ottoman a non seulement exterminé à partir de 1915 sa population arménienne, mais également toutes ses minorités chrétiennes (Grecque pontique, Assyrienne) éclaire d’un jour révélateur les mensonges du négationnisme turc : pour le coup, l’historiographie officielle turque ne peut accuser les Grecs ou les Assyriens de s’être alliés aux Russes, pour justifier leur extermination. Il en est de même en ce qui concerne les Kurdes, qui ont été nettoyés à leur tour par l’Etat turc, après avoir servi « d’agents de purification ethnique » à l’encontre des Arméniens et des autres chrétiens. Décidément, Ankara a intérêt à reconnaître très vite les sombres pages de son passé avant que ne soient déterrés d’autres génocides oubliés... Et Erevan serait bien inspiré d’avoir au moins une position stratégique forte, si ce n’est morale. Le Collectif VAN vous invite à lire la traduction d’un article en anglais publié sur le site ArmeniaNow le 20 mars 2012.

Les législateurs arméniens ont fait échouer le vote de l’inscription à l’ordre du jour de l’AN du projet de la loi sur les génocides commis dans l’Empire ottoman


ArmeniaNow

20.03.12 | 12:17

Le 19 mars, le Parlement arménien a rejeté la proposition du parti d’opposition « Héritage » d'examiner un projet de loi condamnant les génocides des Grecs du Pont, des Assyriens et d'autres minorités ethniques de l'Empire ottoman.

Seuls 17 députés (représentants du parti « Héritage » et de la FRA, l’autre parti minoritaire parlementaire) ont voté pour l’inscription à l’ordre du jour de la session parlementaire d'un tel projet de loi. Les membres du groupe parlementaire du Parti Républicain de l'Arménie (PRA), parti au pouvoir, et les représentants des autres partis progouvernementaux n’ont pas participé au vote qui a échoué à cause de l’absence de quorum. 

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Arménie : black-out sur les génocides de l’Empire ottoman ?

Belgique : l’extrême-droite turque tient son Congrès à Liège

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Après avoir vu son Congrès interdit à Namur, l’extrême-droite turque - représentée par le parti MHP (proche des Loups Gris) - a finalement réussi à obtenir une salle de réunion à Liège ce dimanche 20 mai 2012. Une satisfaction pour le leader Devlet Bahçeli qui y a attaqué « le lobby arménien » en ces termes : "Il est évident que nos paroles en France ont dérangé la conspiration du génocide. Ils ont ramené leur campagne de calomnies en Belgique. La mentalité arménienne a encore raté sa cible." Bahçeli, lui, a perdu une occasion de se taire et de se faire discret. Le Collectif VAN vous propose la traduction de cet article en turc paru sur TRT Haber.


TRT Haber

La réaction de Bahçeli au lobby arménien au sujet du problème de la "salle"

Le leader de MHP a dit "la mentalité arménienne a encore raté sa cible".


Le président du MHP, Devlet Bahçeli, a attaqué le lobby arménien qui avait empêché d’obtenir une salle de réunion pour le Congrès de son parti en Belgique. Il a précisé qu’ils [le MHP] avaient gagné le procès ouvert contre la municipalité, il a ajouté "la mentalité arménienne a encore raté sa cible". Bahçeli a répondu également aux allégations du génocide.

Il a commenté la crise autour de la salle à Liège

Devlet Bahçeli, qui participait au congrès turc organisé en Belgique dans la ville de Liège, a commenté la crise autour de la salle quelques jours avant le congrès.

 
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Belgique : l’extrême-droite turque tient son Congrès à Liège

USA : la justice protège les historiens du génocide arménien


Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Depuis quelques années, la Coalition turque d’Amérique (TCA) intente des procès contre des historiens, des fonctionnaires et des groupes civiques qui soutiennent aux Etats-Unis la reconnaissance du génocide arménien. Le 3 mai 2012, une Cour d'appel du Minnesota a confirmé le verdict rendu le 30 mars 2011 par le Juge Donovan Frank du Tribunal du District qui avait rejeté une plainte déposée par la Turkish Coalition of America contre l'Université du Minnesota. Le procès faisait suite à la mise en ligne, sur le site web du Centre d’études de l'Holocauste et du génocide (CHGS) de l'Université du Minnesota, d’une liste de sites web considérés comme «peu fiables» dans le cadre de recherches scientifiques. La Coalition turque soutenait que l'Université avait violé ses droits constitutionnels et l’avait diffamée en incluant le site web de la Turkish Coalition of America dans la liste de ces sites. Les attaques en diffamation font partie de la nouvelle stratégie souhaitée par Ankara pour museler toute recherche indépendante sur le génocide arménien. Inutile de préciser que Pierre Nora, le chantre de la « Liberté pour l’Histoire » à la mode d’Ankara, s’était bien gardé de dire s’il avait apporté son soutien à son confrère le professeur français Bruno Chaouat, Directeur du Centre d’études de l'Holocauste et du génocide (CHGS) de l'Université du Minnesota… Les associations qui luttent pour la reconnaissance du génocide arménien et contre le négationnisme, exporté par l’Etat turc en Europe ou de l’autre côté de l’Atlantique, sont également harcelées par des procédures judiciaires. Le Collectif VAN vous propose la traduction d’une interview en anglais de Mark Rotenberg, conseiller général de l’Université du Minnesota, diffusée sur Minnesota Public Radio le 4 mai 2012. La traduction des extraits originaux des attendus du jugement est à la suite de l’interview. On y notera qu’un tribunal fédéral américain qualifie bien de « génocide » le sort des Arméniens de l’Empire ottoman en 1915. A savoir : bien qu’elle ait perdu en appel, la Turkish Coalition of America n’a pas épuisé tous les recours.
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USA : la justice protège les historiens du génocide arménien

La Turquie veut enterrer les promesses de Hollande


 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Par un appel téléphonique du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdoğan et une lettre de félicitations du Président Abdullah Gül, la Turquie a exprimé à François Hollande, le nouveau président élu de la République française, son espoir de voir une amélioration des relations franco-turques. Outre la question de la possible adhésion de la Turquie à l’Union européenne (que le PS a toujours conditionnée à la reconnaissance du génocide arménien), les dirigeants turcs se préoccupent tout particulièrement du nouveau projet de loi promis par le candidat socialiste pour pénaliser la négation du génocide arménien. La Turquie s’est réjouie de la défaite de Nicolas Sarkozy qui avait été réellement offensif dans la lutte contre le négationnisme mais craint que cette loi ne refasse surface avec le président socialiste. Elle exhorte la France « à ne pas laisser la question revenir à l'ordre du jour ».

On le voit, Ankara ne déroge pas à ses bonnes habitudes de faire pression sur ses partenaires internationaux pour imposer à tous les niveaux son négationnisme d’Etat et le tabou du génocide arménien. Mais il serait impensable que François Hollande ne tienne pas des engagements humanistes qu’il défend avec constance depuis une décennie. Il y a fort à parier qu’une nouvelle campagne « d’information pour la liberté de l’Histoire » soit initiée par des personnalités françaises renommées, qui soutiennent de fait la Turquie dans son affligeante entreprise de déni étatique… Le Collectif VAN vous propose la traduction d’un article du site turc de langue anglaise Hürriyet Daily News en date du 12 mai 2012.


ANKARA - Hürriyet Daily News

12 mai 2012

Serkan Demirtaş
serkan.demirtas@tdn.com.tr

Le gouvernement turc offre un rameau d’olivier à la France

La Turquie offre des rameaux d'olivier au nouveau président français, avec un appel téléphonique du Premier ministre Erdogan et une lettre du président Gül, dans l’espoir de renouer les liens


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Turquie : Bernard Lewis en ligne de mire

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Halil Berktay, qui est l’un des rares intellectuels turcs à oser parler en Turquie du génocide arménien, révèle dans le journal turc Taraf du 19 avril 2012 que l’universitaire Bernard Lewis, célèbre historien ottomaniste (condamné en France le 21 juin 1995 pour avoir parlé de la « version arménienne de l’histoire » au sujet du génocide arménien), aurait été l’un des soutiens occultes de la dictature militaire turque, aux côtés de Çevik Bir. Ce général à la retraite a été arrêté à Istanbul le 12 avril dernier dans le cadre de l’enquête sur le coup d'État postmoderne du 28 février 1997. Le militaire avait été l’un des principaux artisans de la répression de la société civile en Turquie. A l’occasion de cette arrestation, Recep Tayyip Erdogan a parlé de « la collusion entre des officiers conspirateurs et des dirigeants du monde de la finance, des médias mais aussi des universitaires ». Pour une fois, nous ne pouvons que souscrire aux propos du Premier ministre turc mais en élargissant sa critique aux manœuvres du même type mises en place par l’Etat turc (et donc par lui-même), et qui visent à imposer au niveau international la négation du génocide arménien…

L’article de l’historien turc Halil Berktay vient à point nommé pour étayer les propos d’Erdogan. Bernard Lewis, encensé depuis des décennies par Ankara et les négationnistes du génocide arménien, semble devenir la tête de Turc de certains de ses collègues qui n’apprécient pas ses compromissions avec le fascisme turc. De quoi donner du courage aux universitaires de Turquie qui essayent timidement de s’opposer à l’historiographie officielle imposée par l’Etat et relayée avec ostentation par Bernard Lewis. Jusqu’à présent, ils hésitaient à enfreindre la ligne rouge et à s’opposer à ce professeur émérite des études sur le Moyen-Orient à l'Université de Princeton, spécialiste de la Turquie, du monde musulman et des interactions entre l'Occident et l'Islam, auteur de nombreux ouvrages de référence sur le sujet.

Dans ce papier, Halil Berktay, Professeur agrégé d'histoire à l'Université Sabanci à Istanbul, diplômé de l’Université de Birmingham (Grande-Bretagne), chercheur invité au Center for Middle East Studies à l'Université Harvard, dénonce vigoureusement ce qu’il appelle le « lobby israélien ». Précisons qu’il n’est pas considéré comme antisémite alors que l’antisémitisme est malheureusement très répandu en Turquie : certains de ses collègues universitaires n’hésitent pas, eux, à parler de « lobby juif ». Si ses propos peuvent néanmoins avoir une résonance choquante en France, il est utile malgré tout de les mettre à disposition ici en s’attachant davantage à ce que l’historien confirme : à savoir, l’utilisation de personnalités, chaires, organisations ou institutions nationales basées à l’étranger, sous couvert de représentation de l’Etat Profond turc, aux fins de relayer la propagande de la Turquie. Nous l’avons constaté ces derniers mois en France : les interventions lues et entendues au sujet du génocide arménien n’avaient que peu de choses à voir avec un véritable travail scientifique et historique et visaient, très politiquement, à autoriser la diffusion d’un négationnisme d’Etat sur le territoire de la République française. Le Collectif VAN vous propose la traduction de cet article en turc.



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Turquie : Bernard Lewis en ligne de mire

mercredi, mai 30, 2012

Génocides : le parlement turc a écrit l’histoire

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le média progressiste turc Taraf continue à ouvrir ses colonnes à des journalistes qui n’ont pas peur de s’exposer. Alors qu’affirmer la réalité du génocide arménien est une atteinte à la « nation turque », passible de 2 ans de prison au titre de l’Article 301 du Code pénal turc, Serdar Kaya apporte à ses lecteurs la preuve que l’extermination des Arméniens était abordée officiellement au sein du Parlement turc en 1918. Il va même plus loin en indiquant qu’au-delà des Arméniens, ce sont « également tous les groupes chrétiens qui ont été pris pour cible ». Un article qui a secoué la Turquie qui se retrouve désormais à devoir affronter trois génocides au lieu d’un seul... Le Collectif VAN vous propose la traduction d’un article de Serdar Kaya paru le 10 avril 2012, dans le quotidien turc Taraf.

Légende photo: A gauche, le journaliste turc Serdar Kaya. A droite, en date du 27 septembre 1915, le New-York Times parle déjà de 500 000 victimes arméniennes.


Taraf 10/04/2012
Serdar Kaya - taraf@serdarkaya.com

Les traces du génocide dans les procès-verbaux du parlement

Aujourd’hui, j’allais rédiger un autre article pour cette chronique où j’allais plutôt parler de trois réalités qu’on ne connaît pas vraiment bien en Turquie:

(1) Bien que l’on pense à 1915 lorsque l’on parle de génocide des Arméniens en Turquie, il faut savoir que durant la période comprise entre 1914 et 1922, ce sont non seulement les Arméniens mais également tous les groupes chrétiens qui ont été pris pour cible.

(2) A partir du printemps 1914 jusqu’en 1922, en plus des Arméniens, près d’un million de citoyens ottomans, des Grecs et des Assyro-chaldéens ont été victimes de génocide en Turquie. Un nombre incalculable de femmes appartenant à ces deux groupes ethniques ont été violées. Les biens de ces personnes (sous la direction de Celal Bayar*) ont été distribués aux musulmans.


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Génocides : le parlement turc a écrit l’histoire

Les Nazis de la Turquie - « Türkiye’nin Nazileri »

Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Serdar Kaya a publié dans le journal turc Taraf du 15 avril 2012, la suite de son courageux article du 10 avril. Il complète ses explications précédentes concernant les débats qui agitaient le Parlement turc dès 1918, et au cours desquels le génocide des chrétiens de l’Empire ottoman, et en particulier celui des Arméniens, était abondement traité. Comme Serdar Kaya l’indique, ces événements étaient non seulement connus des députés, mais officiellement mentionnés dans les procès-verbaux de ladite Assemblée. Le journaliste n’hésite pas à parler de « Nazis de la Turquie », titre provocateur qu’il a choisi en connaissance de cause : des intellectuels de Turquie fustigent régulièrement la diaspora arménienne pour l’emploi de cette terminologie qu’ils estiment injurieuse et non fondée. Certains réfutent la qualification de génocide au motif que « Les Turcs n’étaient pas des nazis ». Et qu’en Turquie, « génocide veut dire crimes commis par les nazis ». Le Collectif VAN vous propose la traduction de la 2e partie de l’article de Serdar Kaya.

Notons pour la « petite » histoire, qu’à l’heure où nous publions ce texte, les archives turques disponibles sur deux sites jusqu’au précédent opus de Serdar Kaya, ont « mystérieusement » disparu du web… Serait-ce là une manifestation supplémentaire du double jeu permanent de l’Etat turc qui affirme avoir ouvert ses archives, tout en effaçant consciencieusement toute trace de ses méfaits passés et présents? Signalons qu’Ankara accuse aussi avec arrogance l’Arménie de ne pas avoir donné accès à ses archives, en « oubliant » un « détail » de l’Histoire : l’Arménie n’existait pas en tant qu’Etat à l’époque du génocide. L’Empire ottoman a éliminé ses propres citoyens - toutes ses minorités chrétiennes de Turquie - et non les habitants d’un pays tiers contre lequel il aurait été en guerre.

Au risque de contrarier les bienveillantes autorités turques, nous mettons en téléchargement en fin d’article la suite du pdf de l’archive que nous avions mise à disposition pour le premier article.

TARAF ÜNİVERSİTESİ


15.04.2012
Serdar Kaya

Il s’agit d’une motion adressée par trois députés non musulmans à l’Assemblée Constitutive ‘Meclis-i Mebusan’ le 2 novembre 1918 [NdT : lire la première partie de l’article].

[En 1918, trois députés non musulmans adressent une motion à l’Assemblée Constitutive ‘Meclis-i Mebusan’. A travers cette motion, ils demandent au nouveau gouvernement s’il prendra des mesures à l’encontre des responsables des massacres commis contre la population arménienne et grecque durant les quatre dernières années.]

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Les Nazis de la Turquie - « Türkiye’nin Nazileri »